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Il y as plusieurs problèmes que tu fais semblant ou que tu ne veux pas voir.
Le premier et pas des moindres ,c'est que tu n'as pas le temps de lire toute les conditions de vente/utilisation de ce que tu coche ,souscrit ,signe et quand je dis pas le temps ,c'est pas le temps dans une vie. Donc l'argument t'as qu'as lire ,il est joli mais personne ne le peux.
Ensuite désolé mais non ce n'est pas "la norme" l'abonnement reconduit automatiquement dans la presse écrite c'est inexistant ,et dans la presse web aucun des sites que je connais ne la pratique ,et mettre au même niveau des services contractuels "vitaux" (logement/electricité/eau) ,et un abonnement a un site de serveur de jeu ? tu te fout de qui ?^^
A te lire ,on dirait presque que la reconduction automatique ,c'est génial pour le consomateur ?!?
Sérieusement ?!?
Simple question sait-tu pourquoi lorsque tu souscris a Amazon prime ,ainsi que sur WOW (je crois) ,sur la page de paiement il y a un encart informant que l'abonnement seras reconduit ainsi que la marche a suivre pour arrêter sa reconduction automatique ?
J'en sais rien ,mais je doute que il y ai une autre raison qu'être dans la légalité dans tout les pays ou leurs services sont "consommé".
Oui c'est clairement fait pour facturé des mois d'abonnement ,non désirées et c'est pas parceque c'est légal dans certains pays et sous certaines conditions que ça le seras toujours d'une part ,et qu'il ne faut pas s'en offusquer d'autre part.
Des contrats comme ceux de WOW, d'Amazon premium, de Netflix, d'abonnement à une chaîne TV, sont loin d'être "vitaux" et sont pourtant reconduits automatiquement . Oui, ces abonnements simplifient la vie du consommateur (t'aimerais toi devoir re-signer un contrat chaque mois pour avoir accès à ta télé ?).
Le consommateur doit se poser une question simple quand il paye : pour quoi est-ce que je paye ? Est-ce que je paye pour "un achat" ou pour "un abonnement" ? Un abonnement c'est (larousse.fr) : une "convention entre un fournisseur (commerçant, journal, théâtre, service public) et ses clients pour la livraison régulière de produits ou l'usage habituel d'un service en échange d'un paiement forfaitaire".
Sur le site de Faceit, lorsque tu payes, tu achètes une "subscription" (c'est écrit en gros, pas besoin d'aller dans les conditions de vente), ce qui, en français, signifie "abonnement". Pour savoir qu'il y a reconduction il faut donc 1) lire ce qu'il y a écrit deux lignes au dessus du bouton "payer" 2) savoir parler français 3) savoir traduire de l'anglais au français.
Par tradition juridique, on a tendance à estimer que le consommateur 1) doit lire ce qu'il achète 2) sait parler français 3) s'il achète sur un site anglais, qu'il sait traduire de l'anglais au français ce pour quoi il paye.
Alors il faudrait être naïf pour penser que ces reconductions ne profitent pas aux entreprises, bien sûr qu'elles en profitent ! Mais doivent-elles pour autant être condamnées ? À qui la faute si elles bénéficient de la reconduction automatique ? Juridiquement, on estime que c'est la faute du consommateur qui commet une erreur de droit inexcusable (cf 1130 et 1132 du Code civil) puisqu'il devrait savoir parler français et savoir ce que signifie le terme "abonnement" et que l'entreprise a été suffisamment claire en inscrivant le terme "abonnement" sur la page où l'on paye.
Ne pas connaître la signification "d'abonnement" c'est compréhensible, ça n'est pas excusable juridiquement (= ça ne justifie pas la nullité d'un contrat) et on ne peut encore moins reprocher à l'autre d'avoir manipulé le premier alors qu'il a écrit "Abonnement" sur la page de paiement.
Pour conclure un peu à ta manière donc, c'est légal dans certains pays dont la France et ce système me parait tout à fait normal : on protège le consommateur, mais cette protection s'arrête lorsque c'est lui qui commet une erreur. Il faut trouver un juste milieu entre protection du consommateur et protection de l'entreprise et permettre à un consommateur d'annuler un contrat au prétexte que LUI a commis une erreur parait rendre tout entrepreneuriat très incertain, voire dangereux ce qui serait dangereux pour la société (actuelle) en elle-même (la consommation et l’entrepreneuriat permettant ensemble la création de richesses). |